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Etude comparative in vitro entre les traitements alternatifs et les traitements conventionnels vis-à-vis d'E. coli responsable d’infection urinaire chez l’homme

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dc.contributor.author Ouadah, Nadjet
dc.contributor.author Kaddouri, Ahlam
dc.contributor.author Otsmane, Hadjer
dc.date.accessioned 2023-03-09T13:03:46Z
dc.date.available 2023-03-09T13:03:46Z
dc.date.issued 2022-07-31
dc.identifier.uri http://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/5688
dc.description.abstract L’infection urinaire a fait l’objet de nombreuses études vu sa fréquence et la gravité de l'agent étiologique, et se place au deuxième rang après les infections respiratoires au terme de consultations, elle touche généralement les femmes plus que les hommes et est souvent causée par le germe Escherichia coli qui est présent dans la flore intestinale, mais s'il retourne dans l'arbre urinaire, il provoquera des inflammations plus ou moins graves. Cette maladie est principalement traitée par des antibiotiques à l'origine d'une large antibiorésistance chez les bactéries. Pour cela, de nouvelles études s'intéressent de plus en plus à la recherche des produit naturels alternatifs efficaces contre les bactéries et sans effets secondaires. L’objectif de notre travail est d’isoler des souches d'Escherichia coli responsables d’infections urinaires chez l'être humain, et de comparer entre l'efficacité des traitements conventionnels classiques (antibiotiques) et des traitements alternatifs naturels (2 types de miel d'origine botanique différente) vis-à-vis de ces souches bactériennes isolées. Comme la durée de l'expérimentation était très limitée (2 semaines), nous avons travaillé seulement sur 10 échantillons d'urine, dont Escherichia coli était présent dans la totalité de ceux-ci. Les souches bactériennes isolées ont montré des antibiorésistances importantes (60 % pour l'amoxicilline et 50 % pour l'association amoxicilline/acide clavulanique). D'autres résistances plus ou moins élevées ont été constatées : 30 %, 20 %, et 10 %, pour la combinaison sulfaméthoxazole/triméthoprime, l'acide nalidixique et la fosfomycine, respectivement. Aucune résistance n'a été enregistrée pour le céfixime, le céfotaxime, la gentamicine, l'amikacine, la ciprofloxacine et le furane. Parallèlement, les deux miels testés, miel multifloral de la région de Bougara (Wilaya de Blida) et miel monofloral (jujubier de Palestine "السدر") de la région de Mechria (Wilaya de Naama), ont montré une activité antibactérienne très intéressante, avec des concentrations minimales inhibitrices de 11 % et de 15 %, respectivement. Comme les antibiotiques présentent des inconvénients essentiellement les antibiorésistances, alors que le miel n'en a presque pas et le développement des résistances bactériennes en sont nulles, le miel pourrait être utilisé en thérapeutique des infections urinaires comme une alternative aux antibiotiques. fr_FR
dc.language.iso fr fr_FR
dc.subject infection urinaire, E. coli, antibiotique, antibiorésistance, traitement alternatif, miel fr_FR
dc.title Etude comparative in vitro entre les traitements alternatifs et les traitements conventionnels vis-à-vis d'E. coli responsable d’infection urinaire chez l’homme fr_FR
dc.type Other fr_FR


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