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Dans ce travail, nous avons réalisé une synthèse bibliographique sur l’effet de la castration sur le tractus génital mâle. Selon les travaux consultés, cet effet est observé à plusieurs niveaux : pondéral, histologique et biochimique par l’électrophorèse des protéines et au niveau moléculaire par la mise en évidence de la présence ou absence des cellules apoptotique, chez quelques rongeurs : deux espèces appartenant à la famille des gerbillidés : (la gerbille (Gerbillus gerbillus) le mérion (Merions libycus) qui sont deux espèces nocturnes et le rat des sables (Psammomys obesus) espèce diurne. Et à la famille des muridés : le rats, rattus norvegicus et la souris. La durée de castration entraine des diminution pondérales et des changements histologiques qui traduisent une atrophie tissulaire progressive qui n’est pas du même degré sur les différents organes de tractus des rongeurs étudiée. L’analyse comparative des profils électrophorétique du tractus génitale permis de distinguer dans chacun des organes (épididyme, canal déférent et vésicules séminal) plusieurs catégories de protéines dont l’expression est effectuée différemment par la castration et le traitement à la testostérone. La présence des cellules apoptotiques a été signalé dans l’ensemble des travaux consultés, ce qui nous laisse suggéré que l’apoptose semble être une étape transitoire dans l’atrophie tissulaire après castration adopté par la cellule en vue de son équilibre. Ainsi, il serait intéressant d’étudier la relation entre les protéines androgénodépendantes de façon positive ou négative et le phénomène d’apoptose. |
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