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En Algérie, la céréaliculture demeure le pivot de l’agriculture, c’est une filière stratégique
et représente un poids considérable dans l’économie agricole. L’objectif de notre étude
c’est d’introduire des nouvelles variétés de blé dur qui s’adaptent à notre climat,
résistantes aux maladies, de bonne qualité technologique dont le but de les homologuer et
les inscrire au catalogue national. Notre essai est un essai de rendement qui a été réaliser
dans une zone caractérisée par une sécheresse précoce prolongée de deux mois allant du semis
au tallage. Cependant durant le reste du cycle une pluviométrie régulière et suffisante a été
enregistrée.Le dispositif expérimental adopté est du type blocs aléatoires complets. Les mesures
sur la plante ont porté sur les principaux paramètres morphologiques et de rendement : nombre de
plante par mètre carré, auteur de la plante, nombre de talle par plant, longueur de l’épi, nombre
d’épi par mètre carré, nombre d’épillet par épi, nombre de grains par épi, poids de mille grains et
le rendement. Ces paramètres ont fait l’objet d’une analyse de variance suivi d’une comparaison
des moyennes au seuil de 5%. Le rendement en grain atteint est faible, il est situé entre un
minimum de12.38 à un maximum de 17. 5 q/ha. Les résultats obtenus montrent que les génotypes
étudiés n'ont pas eu des réponses identiques aux conditions pédoclimatiques du Haut Chéliff |
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